mardi 7 juillet 2015

L'esprit de Léonidas


Il y a des années de cela, j'ai vu la statue de Léonidas au monument des Thermopyles. Je n'aurai jamais imaginé, que des années plus tard, voyant son nom mentionné dans un réseau social, je l'assimilerais à ce que se passe en Grèce, en ce moment.
Pourtant, tous ceux à qui il reste quelques atomes de culture historique, savent que ce soit-disant « petit peuple » a été l'héroïque acteur d'exploits guerriers contre des puissances voisines, infiniment plus grandes que lui. Non seulement la bataille des Thermopyles fut un exploit fabuleux, mais il y eu aussi, le combat naval de Salamine où la flotte grecque humilia la flotte perse deux fois plus nombreuse. Tout cet avant-propos pour vous dire que dans l'âme de ce peuple survit toujours quelque part le souvenir de ces fabuleux ancêtres qui surent faire face à des ennemis impitoyables, pleins de leur vaniteuse suffisance due à un rapport de force qu'ils croyaient très naïvement, être en leur faveur.
Je ne pense pas que les « Xerxès » de la BCE et du FMI se souviennent de ces exploits historiques quand ils affrontent les exigences actuelles de Tsipras. Je pense même qu'ils les regardent avec le même sourire méprisant, et la même morgue cynique, que celui qui dit au ministre des finances grecques, Yanis Varoufaquis, « game is over » dans le « sabir » de l'empire de la finance.
Mais qu'ils prennent garde, tous ces cyniques pourris de Bruxelles, et surtout cette « gorgone » teutonne obstinée, l'esprit de Léonidas souffle encore sur la Grèce de 2015.


vendredi 26 juin 2015

Le monde libre face au terrorisme américain

Quand je vous ai écrit mon dernier message, je n'avais pas encore lu l'article d'Emmanuel Todd :
Le monde libre face au terrorisme américain
Ce que je vous écrivais hier, n'est qu'une petite « bluette » un petit pamphlet à l'eau de rose à côté de ce qu'écrit Emmanuel Todd. Avec une immense intelligence et une grande culture, que je ne possède pas hélas, ce qu'il nous révèle est encore plus terrifiant ! Et je pèse mes mots. Il fait appel pour cette démonstration impitoyable à l'un de nos grands écrivains (Alexis de Tocqueveille) que nous n'avons jamais eu l'intelligence et la prudence de lire avec l'intérêt et l'attention qu'il méritait.
Juste un petit passage pour vous « allécher » :
Tocqueville a recensé les désastres humains et culturels qui allaient venir d’Amérique (l’argent, le messianisme, le féminisme, le racisme, les médias aux ordres, la vulgarité…). Et alors que l’Amérique est encore loin de tout, il consacre plusieurs chapitres à la question militaire en « démocratie » américaine (Tome II, Troisième partie):
« De toutes les armées, celles qui désirent le plus ardemment la guerre sont les armées démocratiques. (…). On peut donc dire d’une manière générale que, si les peuples démocratiques sont naturellement portés vers la paix par leurs intérêts et leurs instincts, ils sont sans cesse attirés vers la guerre et les révolutions par leurs armées. »

Alors, je vous en supplie ; répandez, partagez, publiez cet article partout et à tous ceux que vous pourrez ! Il y va de la survie de notre glorieux pays, de notre civilisation toute entière, de celle pour laquelle tant de nos pères et nos aïeux ont sacrifiés leurs forces et leur vie. 




Les Américains, ils sont gentils.....

Nous devons le déclarer solennellement, surtout après l'insulte supplémentaire qu'il vient de nous infliger, sans remord et avec mépris : les États-Unis d'Amérique ne sont plus MAINTENANT qu'un état voyou ordinaire.Cet état, que des inconscients, des naïfs, des « gavés de téléfilms US » des hypnotisés congénitaux du folklore « cowboy » admirent encore, pratique la torture (CIA), les écoutes téléphoniques de masse, l'arrestation et le kidnapping de tout citoyen sur la toute la surface de la terre, ceci sans jugement, sans avocat, d'une durée illimitée, génère des conflits, des révolutions, des guerres illégales et illégitimes, n'est plus qu'un état mafieux. Tous ces « avantages » ne sont que les privilèges douteux des tyrannies, des dictatures les plus sombres, mais surement pas d'un pays civilisé et moderne. Ce pays nous occupe même militairement à travers son bras armé, l'OTAN ! Il nous étouffe de ses bases militaires. Quand un pays subit sur son sol, la présence d'une force armée étrangère, IL N'EST PLUS LIBRE ! Il n'est plus qu'une « conquête », qu'un vassal docile qui doit servir les intérêts de son maître !
Les USA ont même l'outrecuidance de nous désigner un ennemi : la Russie ! Alors qu'en vérité c'est EUX le DANGER pour nous tous ! Ils SONT notre véritable ennemi ! C'est bien ce que signifiait Mitterrand, peu de temps avant sa mort. C'est très intelligent et très pervers de nous retourner la situation, de nous détourner ainsi du véritable danger qui nous menace.
Mais l'ennemi, à la face sombre et inquiétante, est bien moins dangereux que celui qui nous sourit avec le sourire de l'ange de la mort, en mastiquant son chewing-gum !

samedi 11 avril 2015

LE PIRATAGE DES CONSCIENCES

Une chaîne française de télévision vient de subir un piratage informatique qui l'a privée de diffusion pendant plusieurs heures. On ne vous raconte pas tout le « foin » médiatique qui a suivi.
Branle-bas de combat au gouvernement où trois ministres se sont précipités pour faire des déclarations scandalisées. Une fois de plus, nous sommes attaqués par d'affeux terroristes qui en veulent à notre sécurité et à nos libertés publiques.
Une armée d'experts informatiques ont défilé dans tous les médias pour nous expliquer tous les dangers, toute la vulnérabilité des sites informatiques.
Mais voilà ! Ce que peu de personnes ont compris (heureusement je suis là) c'est que cet événement est une extraordinaire opportunité pour le gouvernement. Par un hasard fabuleux, il se trouve que la semaine prochaine, arrive à l'assemblée nationale, un projet de loi sur quoi ? Je vous le donne en mille, Emile ? Sur notre « patriot act » à la française ! Projet de loi très très très controversé !
Et c'est le moins que l'on puisse dire.
D'ailleurs ayant deviné, depuis le début, cette intéressante coïncidence, je tombe, ce matin, sur un passionnant article du site « Voltaire » signé Marie Delarue dont je vous donne quelques extraits, et que vous pourrez lire en entier par ce lien :


Et en cela, la cyberattaque qui a touché TV5 Monde dans la nuit de mercredi à jeudi se révèle être une sacrée aubaine pour notre ministre de l’Intérieur. En effet, sa loi très controversée sur le renseignement – notre « Patriot act » à la française – passe à l’Assemblée le 13 avril. C’est-à-dire lundi prochain.

Mais j'avais aussi remarqué quelque chose d'étrange que reprend différemment l'auteur de l'article.
Un intervenant, sur une chaîne, de culture arabe, relevait des incohérences flagrantes et grotesques dans les proclamations en arabe concernant le Coran. Ce qui lui faisait dire que ce n'était probablement pas des gens très féru de la culture musulmane.

Les documents balancés par le groupe islamiste CyberCaliphate en lieu et place des émissions de la chaîne française à vocation internationale contiennent, semble-t-il, tout et n’importe quoi. « En réalité, il s’agit d’un invraisemblable bazar administratif : le règlement intérieur d’une mairie de région parisienne, des annonces d’emploi pour des services municipaux, des extraits de budgets ou des fiches d’inscription à des activités de loisirs… », écrit Le Monde. Au milieu de tout cela, des documents présentés par les pirates informatiques comme « des informations confidentielles de l’État français ». Notamment « Plusieurs photographies présentées comme des cartes d’identité ou des passeports de soldats français, assorties de menaces » dont le ministère de l’Intérieur dit qu’elles « sont en cours d’analyse pour déterminer leur authenticité ».

Étrange, n'est-ce pas ?
Mais ce n'est pas tout. Il y a plus grave ! Les déclarations du juge Trévédic juge d’instruction au Pôle anti-terroriste de Paris, qui vient de quitter son poste ;

« Il y a une absence totale de contrôle dans cette loi. On est très en dessous de ce qu’il faudrait… L’État peut être tenté de surveiller à un moment donné ses opposants, des mouvements sociaux, des mouvements de contestation… faire du renseignement politique. (…) Les critères sont tellement flous dans cette loi – sécurité nationale, diplomatie, intérêts essentiels économiques, etc. – que la marge de manœuvre est immense pour un Premier ministre. En l’état, si une loi de ce type tombe en de mauvaises mains, on est en danger… là, c’est le Premier ministre qui décide tout ce qu’il veut… en plus, on n’a absolument pas touché au secret défense. (…) Je pensais que les scandales NSA etc. avaient fait comprendre certaines choses, je constate que pas du tout ».
Vous êtes inquiet ? lui demande Yves Calvi
Oui, bien sûr. C’est une loi qui me paraît dangereuse. Je suis inquiet pour la démocratie.

Oui ! Il n'y a pas que le sites informatiques qui subissent des tentatives de piratage, il y a aussi la Conscience d'un peuple que l'on cherche AUSSI à pirater !
Mais, pour leur plus grand malheur, nous connaissons déjà les « hacker » !

mercredi 18 février 2015

Que Marianne était jolie...

Cette célèbre phrase de la chanson de Michel Delpech m'est venue spontanément à l'esprit en visionnant cette vidéo, ce matin.
On y voyait un petit bout de femme, à peine sortie de l'enfance, nous déballer sans complexe, sans pudeur, son « mal être » et sa souffrance existentielle. Au fur et à mesure que je l'écoutais, je saisissais, petit à petit, que son jeune cri de révolte était le nôtre, et qu'il était universel.
Oui, petit « Marianne » tu t'es levée brusquement pour nous réveiller. Je ne connais rien de toi, ni ton nom, ni ton prénom. Mais tu m'as semblé symboliser cette figure emblématique de la France éternelle. Tu m'as rappelé une parole que je cite souvient, d'une grande sainte catholique et italienne ; Catherine de Sienne :

« Je vois qu'à force de silence, le monde est pourri »

Les « bien-pensants », les fausses élites intellectuelles, la petite coterie médiatico-politique, sont en train de nous forger, un peu plus tous les jours, les barreaux en acier d'une tyrannie d'autant plus impitoyable et féroce qu'elle est invisible. Tyrannie, comme toujours, au service de la puissance financière apatride, de l'argent, de l'éternel cupidité humaine stigmatisé par le « veau d'or » de la Bible. Ce « veau d'or » dont je rappelais, dans un article précédent qu'il était toujours vivant dans 
Rassure-toi, petite Marianne, parmi tes aînées, certains te comprennent bien et partagent tes inquiétudes. Il faut avoir l'Espoir chevillé au corps, comme de grands français ont su nous en montrer le glorieux chemin. 







mardi 20 janvier 2015

Les États-Unis ; un parfait « État-voyou » ?

Pour ne pas commettre d'accusation mensongère, imprudente ou calomniatrice, il est toujours nécessaire de bien employer les termes adéquats et parfaitement bien définis.
C'est ainsi que je trouve sur l'encyclopédie en ligne cette définition de « l'État-voyou » :

L'expression d'état voyou renvoie à l'idée d'un État qui ne respecte pas les lois internationales les plus essentielles, organise ou soutient des attentats, ou viole de manière systématique les droits les plus élémentaires de l'être humain. La catégorie combine plusieurs diagnostics : militaire, géopolitique, politique ou encore économique.

L'appellation a été utilisée dans un premier temps par le gouvernement des États-Unis et certains de leurs alliés, comme le Royaume-Uni. Les accusations principales contre ces États sont l'appui, réel ou présumé, qu'ils accordent au terrorisme international et la possession ou l'ambition de posséder des armes de destruction massive.

-Un État qui ne respecte pas les lois internationales les plus essentielles. Tiens ? Nous n'en avons pas un magnifique exemple, tout récemment, sous les yeux ?

Alors un petit rappel historique est nécessaire : le 10 décembre 1984 est signée une convention internationale contre la torture :

La Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants est un traité de droit international de promotion des droits de l'homme adopté sous l'impulsion des Nations unies dans le but d'empêcher la torture partout dans le monde.

Elle définit la torture comme «tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales, sont intentionnellement infligées à une personne aux fins notamment d’obtenir d’elle ou d’une tierce personne des renseignements ou des aveux, de la punir d’un acte qu’elle ou une tierce personne a commis ou est soupçonnée d’avoir commis, de l’intimider ou de faire pression sur elle ou d’intimider ou de faire pression sur une tierce personne, ou pour tout autre motif fondé sur une forme de discrimination quelle qu’elle soit, lorsqu’une telle douleur ou de telles souffrances sont infligées par un agent de la fonction publique ou tout autre personne agissant à titre officiel ou à son instigation ou avec son consentement exprès ou tacite. Ce terme ne s’étend pas à la douleur ou aux souffrances résultant uniquement de sanctions légitimes, inhérentes à ces sanctions ou occasionnées par elles»1.

Cette convention exige des États l'ayant ratifiée qu'ils prennent des mesures concrètes afin d'empêcher la torture à l'intérieur de leurs frontières et leur interdit de renvoyer dans leur pays d'origine des personnes qui risqueraient d'y être torturées. Elle a instauré le Comité de l'ONU contre la torture, chargé de son implémentation effective, et auquel tous les États signataires doivent rendre des rapports concernant la prise en compte du droit international dans leurs législations nationales.


États-Unis : Ronald Reagan présente la convention au Sénat en 1988 et conclut que sa ratification montrera le désir de mettre fin à l'odieuse pratique de la torture. Simultanément, l'Administration propose dix-neuf réserves qui repoussera de six ans sa ratification par le Sénat.

Donc, chacun comprendra que cette convention internationale SIGNEE par le gouvernement US a largement été violée lorsqu' un rapport sénatorial nous a infomé des tortures avérées, commises pas par les agents de la CIA. Circonstances agravantes, ces tortures ont eu lieu dans des prisons secrètes partout dans le monde et principalement en Europe !
Vous auriez pu croire que ceci allait ébranler les institutions américaines et provoquer un « tsunami » politique propre à lésarder toutes les fondations démocratiques de ce pays !
Pas du tout ! Tranquilles comme « Baptiste » les gars ! Même pas mal !
Et que peut-on lire dans un pays devenu le larbin de cet empire cynique, dans une presse couchée et servile ?

Les révélations sur l'utilisation de la torture par la CIA contre des membres présumés d'Al-Qaïda a déclenché de vives protestations partout dans le monde, mais cela ne devrait toutefois pas empêcher l'agence du renseignement américaine de conserver ses prérogatives.
Le rapport du Sénat américain rendu public mardi, qui détaille les mauvais traitements subis par les prisonniers et les mensonges de la CIA, est accablant.

Comme  nous sommes heureux de lire cela dans un journal français! C'est-y pas beau ?
Mais ils s'en tapent, les bougres ! Ils se foutent de nous et de la terre entière !
« Accablant » ? Mais pas pour eux : Rassurez-vous !
Alors résumons par ce triste et désespérant constat :
-Un État qui viole sciemment des lois internationales qu'il a lui même signées.
-Un État dont un des politiciens ment volontairement devant l'assemblée générale de l'ONU
-Un État qui provoque des guerres, des conflits qui font des millions de morts et de déplacés, qui envahit d'autres Etats sur ces mensonges avérés.
-Un État qui organise des attentats sous fausse bannière pour provoquer l'indignation orientée de son peuple.
Sommes-nous pas en droit, à notre tour, de le considérer légitimement comme un ÉTAT-VOYOU ?
Autre conclusion encore plus dramatique et plus effroyable ; plus que le terrorisme islamique promu, propagé, entretenu, financé, armé par des « État-voyous » il existe un autre « terrorisme » encore plus terrifiant et nécessaire à combattre, c'est le « terrorisme d’État » !







jeudi 15 janvier 2015

Le Diable est dans les détails



Cette expression, attribuée à Nietzsche, est très judicieuse pour bien vous expliquez ce qui m'a choqué ce matin.
Alain Bauer, éminent criminologue, spécialiste de sécurité et de lutte antiterroriste, franc-maçon notoire, et membre occasionnel du Bilderberg, nous faisait la « leçon » sur les dramatiques évènements de ces derniers jours. Pour se faire, il évoqua, bien naturellement, le conflit israélo-palestinien. Et c'est là que se glissa le petit « caillou » dans la chaussure de la démonstration. Vous savez, le petit «scrupule » dans le cothurne du légionnaire romain !
Au détour d'une phrase, que j'entendais dans un vague brouillard inattentif, j'ai surpris ce petit mot insignifiant, tout minuscule, presque invisible : « dits » ! Ah ! Il faut que je vous le place dans le contexte pour que vous compreniez mieux ! En parlant de la Palestine notre « frère trois points » s'exclama : « ….les territoires DITS occupés » ! Je sais que certaines subtilités de la langue française peuvent échapper à beaucoup de nos jeunes compatriotes très mal instruits par une éducation nationale en déroute ! Alors on va tenter de rectifier un manque possible.
La signification des  « territoires occupés » est légèrement différente de celle des « territoires dits occupés » ! Dans la première version les territoires sont occupés sans aucun doute possible. C'est une affirmation tranquille qui ne souffre d'aucune autre interprétation. Mais dans la deuxième version, tout est possible ! Ce petit mot, mine de rien, flanque tout par terre ! Il signifie que cette occupation n'est qu'un racontar, peut-être une galéjade ! Pire ! Une rumeur infondée propagée par des esprits dérangés, peut-être malhonnêtes, mais surtout incultes ! Vous saisissez maintenant l'ampleur du problème ?
Monsieur Bauer, qui est fin d'esprit, cultivé, n'a pas prononcé ce mot qui fâche, à la légère, par une « distraction » bien pardonnable. Non ! Non ! C'était un message subliminal lancé à des « amis », à des soutiens que je vous laisse deviner, et qu'il faut beaucoup ménager par les temps qui courent sous peine de graves ennuis!

dimanche 30 novembre 2014

Le veau d’or est toujours debout dans les ateliers du Diable!



Vous remarquez bien que j’ai mis une majuscule à « Diable » ! C’est tout à fait normal quand on parle du Prince des ténèbres, comme on le désigne ainsi dans la Bible. Les esprits « forts », les rationalistes de tous poils, la crème du monde intellectuel occidental, l’ont éliminé depuis longtemps de leur champ de vision, de leur préoccupation de recherche, et même complètement de leur esprit.  
On le range désormais dans l’armoire des fantasmes ridicules, des contes à dormir debout, des paranoïas de quelques attardés mentaux, des fantasmes de pauvres hères incultes et déboussolés, et bien sûr, pour terminer cette liste non exhaustive, de ces éternels naïfs que sont les croyants, les religieux. Quelle erreur monumentale ! Tous ces esprits « supérieurs » ont oublié une autre maxime de la Bible :
« La meilleure ruse du Diable est de faire croire qu’il n’existe pas ! » Pardonnez-moi cette longue introduction, mais c’est parce que je viens  de découvrir qu’  « Il » existe bel et bien, ce « Prince des Ténèbres ! »
Il a même élu domicile dans une grande métropole qui se nomme New York.  Il y a mis aussi son « atelier » ! Là, où il fourbit ses plus sombres complots, ses plus effroyables mauvaises actions. Elles sont tellement énormes, ces mauvaises actions, qu’elles en sont quasiment invisibles ! Alors je vais tenter de vous faire partager ce que j’ai découvert avec un certain dégoût, du haut de ma crédulité vulgaire de pauvre citoyen et qui est tombée en miette, dans un vertige proche de l’ivresse. Oui ! Cet « atelier » il faut que je vous le désigne tout de suite, c’est Wall Street. Car tout « Prince » a ses serviteurs, et le Diable a les siens : les banquiers !
Comme je pressens que certains ne vont pas me croire, et songent déjà à s’éloigner sur la pointe des pieds, on va revenir à des choses bien concrètes, bien « terre à terre » pour les rassurer sur ma santé mentale.
D’ailleurs, il n’est pas interdit d’y mêler un peu de plaisir musical, en faisant appel au génie d’un grand compositeur français : Charles Gounod. Il a composé un magnifique opéra « Faust » où le prince des ténèbres y a toute sa place. Il s’y fait appeler Méphistophélès, mais c’est bien Lui. Dans cet opéra, il y a un air fabuleux (parmi d’autres encore plus célèbres) qui s’intitule : « le veau d’or » ! Il est toujours chanté par une belle basse. Mais écoutez bien ce qu’il chante et que je vous retranscris ici :

MEPHISTOPHELES

Le veau d’or est toujours debout
On encense sa puissance
D’un bout du monde à l’autre bout
Pour fêter l’infâme idole
Rois et peuples confondus,
Au bruit sombre des écus,
Dansent une ronde folle
Autour de son piédestal..
Et Satan conduit le bal..

CHŒUR
Et Satan conduit le bal

MEPHISTOPHELES

Le veau d’or est vainqueur des dieux
Dans sa gloire dérisoire
Le monstre abject insulte aux cieux,
Il contemple, Ô rage étrange !
A ses pieds le genre humain
Se ruant, le fer en main
Dans le sang et dans la fange
Où brille l’ardent métal !
Et Satan conduit le bal !

CHŒUR
Et Satan conduit le bal 

Eh oui ! « Le veau d’or est toujours debout » ! Nous savons tous qu’il se porte, d’ailleurs, de mieux en mieux. Partout dans le monde, ses « églises » où l’on célèbre son culte, se nomment Down Jones, Cac 40, Nikkei, FTSE, DAX, etc.. !
Certains commencent peut-être à s’amuser de cette tournure un peu romantique et légère par laquelle j’enrobe cette réalité monstrueuse, mais ce que j’ai découvert ne prête absolument pas à sourire! Je vous prie de le croire.
On a appelé le vingtième siècle, le « siècle de fer ». Le monde a vécu des conflits dont l’ampleur, les cruautés, par les victimes et les destructions engendrées, ne s’étaient jamais vues, dans toute l’histoire de l’humanité. Aux conflits déjà sanglants, se sont ajoutés les horreurs indicibles fabriquées par des idéologies meurtrières de fous déments et paranoïaques contre leurs populations.  Pour certaines, ce fut littéralement vécu comme « l’enfer sur terre » !
Mais ce que j’ai appris, et que je vais tenter de vous apprendre, c’est que l’intégralité de toutes ces monstruosités incommensurables ont été sciemment programmées, voulues, organisées, par une pieuvre repoussante : la haute finance, le milieu bancaire américain.
C’est tellement énorme que les âmes les plus solides vont se cabrer devant cette réalité inacceptable. Et je comprends parfaitement bien qu’elle puisse être « inacceptable ».
La révolution bolchevique, le nazisme, ces deux fléaux infernaux, au sens vrai du terme, qui peut croire, qui peut admettre qu’ils sont les fruits vénéneux d’une oligarchie bancaire tapie dans les bas-fonds de Wall Street ? Qui peut le croire, et surtout l’admettre ?
Oui ! C’est même tellement effrayant que je n’ose pas aller titiller la queue de ce Diable là !
Alors ? A votre avis ? Dois-je me lancer dans cette terrible aventure ? C’est à vous de me l’écrire !


 Répétition du Faust de Gounod avec José Van Dam dans le "veau d'or"

lundi 3 novembre 2014

L’UE sera l’URSS de demain !



Oh !  Ce n’est pas moi qui le proclame, mais un homme d’expérience dont je vous ai parlé dans ce blog :
Il s’appelle Vladimir Boukovski !
Son passé parle pour lui. C’est un homme d’expérience puisqu’il a été un dissident soviétique et qu’il a passé 12 ans dans un hôpital psychiatrique. C’est vous dire s’il sait reconnaître ce qu’est une dictature, une tyrannie. Comme ses millions de compatriotes, il y a « nagé » dedans pendant des décennies ! Nous connaissons tous aussi, Soljenitsyne, et son « Archipel du goulag ».
Alors ce qu’il dit dans cette vidéo, que je vais vous montrer, est à écouter très attentivement. Ceci devrait tuer définitivement toute illusion (s’il en reste encore !)  sur ce que sont en train de nous fabriquer nos politiciens au sujet de l’Europe de Bruxelles. Beaucoup d’entre vous le soupçonnaient depuis longtemps.
Nous avions déjà  appris que cette « pétaudière » anti-démocratique avait été un beau cadeau empoisonné de la part de nos « amis » américains. Un beau « boulet » bien fabriqué pour nous détruire à petits feux, et faire de tous les peuples européens une masse impuissante de 400 millions de « prospects » bons à …tondre ! 
Mais ce que Boukovski nous révèle est encore plus terrifiant ! Oui, l’Europe de Maastricht, de Monnet, de Schumann est en train de devenir exactement ce que fut l’Union soviétique de triste mémoire ! Le parallèle est absolument hallucinant et impitoyable dans sa vérité crue.
Ceci nous offre quand même un bel espoir ; comme sa sœur de l’est, cette « pétaudière » improbable est vouée à son échec inéluctable. Seulement, si nous pouvions hâter sa chute d’une manière prématurée,  nous éviterions beaucoup de souffrances à des millions de gens et surtout à nos enfants.

"J"ai vécu dans votre futur": 



mardi 7 octobre 2014

"La France ne peut être la France sans la grandeur." Charles De Gaulle (mémoires de guerre: l'appel)

Aujourd'hui, en ouvrant  un livre de De Gaulle qui dormait dans ma bibliothèque, je tombe sur les premiers mots du chapitre de "l'Appel". Et tout de suite mon cœur s'embrase! Je comprends immédiatement que De Gaulle ne fut pas seulement un grand homme d’État, mais aussi, un écrivain de génie.
Oui! Il faut être un génie de l'écriture pour que votre lecteur soit immédiatement emporté par les mots qui vous transportent au-delà de votre petite destinée, parfois médiocre, vers un destin collectif grandiose et sublime!
Si la France ne peut-être elle-même sans la grandeur, je vous laisse imaginer le triste sort qui est le sien, aujourd'hui.
Ne nous laissons pas envahir par le défaitiste comme nos parents en 1940. Mais recherchons dans les paroles flamboyantes de notre grand aîné, l'espoir qui remettra en selle ce toujours grand et glorieux pays:
LA FRANCE.
Lisons-le avec respect: 



Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France. Le sentiment me l’inspire aussi bien que la raison. Ce qu’il y a, en moi, d’affectif imagine naturellement la France, telle la princesse des contes ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une destinée éminente et exceptionnelle. J’ai d’instinct, l’impression que la Providence l’a crée pour des succès achevés ou des malheurs exemplaires. S’il advient que la médiocrité marque, pourtant, ses faits et gestes, j’en éprouve la sensation d’une absurde anomalie, imputable aux fautes des Français, non au génie de la patrie. Mais aussi, le côté positif de mon esprit me convainc que la France n’est réellement elle-même qu’au premier rang ; que, seules, de vastes entreprises sont susceptibles de compenser les ferments de dispersion que son peuple porte en lui-même ; que notre pays, tel qu’il est, parmi les autres, tels qu’ils sont, doit, sous peine de danger mortel, viser haut et se tenir droit. Bref, à mon sens, la France ne peut être la France sans la grandeur.

BRIGITTE OU LA VENGEANCE POSTHUME DE GABRIELLE ?

  Qui se souvient de Gabrielle Russier ? Sûrement pas les moins de quarante ans ! C’est bien regrettable. Ils auraient appris le destin trag...